Je
ne veux pas donner un grand synopsis de peur de révéler trop d’informations sur
le premier livre. Si vous êtes perdus, allez lire notre article sur le tome 1
de la série, ici.
J’ai
été envouté par l’écriture atmosphérique de Maggie qui m’a propulsée en
Virginie lors d’une longue journée chaude d’été où votre linge vous colle à la
peau. La prose enchanteresse de l'auteure réussit avec finesse à peindre une fine
ligne entre l’humour et les sujets sombres que ce livre abordent, notamment
avec le nouveau vilain prenant la forme d'un homme en gris. En
laissant tous les clichés de côtés, Maggie délivre la marchandise sur un
plateau d’argent avec ce deuxième roman de la série et
n’épargne aucun personnage dans la tournure sombre que prend la quête principale. J’ai
été ensorcelé par ce livre qui est un casse-tête pour le lecteur en ce sens qu'il ne sait
jamais sur quoi il va tombé lorsqu'il tourne les pages. Maggie réussit l’impossible en créant une
histoire qui laisse par moment le lecteur imprégné d’une quiétude déconcertante pour ensuite tout faire chambouler et remplacer cette quiétude passagère par une tension
insoutenable.
Ouvrez
la boîte à secret qu’est ce livre et laissez vous porter par la magie enivrante
de La prophétie de Glendower.
Mathilde
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